Le défi possible de ‘Franco et Ciccio’, au nom d’Orlando

#défi #Franco #Ciccio #nom #dOrlando

Ils font, après tout, partie du même monde.
Et ils pourraient se faire face.

Quelques farceurs Il l’a déjà défini comme le défi possible de Franco et Ciccio, même si, en regardant comment Palerme est réduit, il n’y a vraiment pas de quoi rire.
L’un est Francesco Franco (Miceli), candidat déjà désigné par le centre gauche pour le fauteuil de maire : les derniers protocoles de procédure du M5S devraient annoncer officiellement la descente en campagne.
L’autre est Francesco-Ciccio (Cascio) qui n’est nullement certain de représenter le centre-droit, après que Forza Italia l’ait lancé.
Les murmures les plus récents disent que c’est loin d’être fini.
Les adversaires internes les plus coriaces s’appellent eux-mêmes Carolina Varchi et Roberto Lagalla.

Cependant, dans le Ces derniers jours, on a surtout parlé d’eux, de Franco et de Ciccio.
C’est pourquoi la confrontation politique potentielle mérite la suggestion d’une radiographie.
Ce sont deux personnes expertes qui ne désespèrent pas, bien au contraire.
Cascio a également dit de Miceli : “C’est un de mes amis”.
Et ce serait une bataille pleine de contenu, entre deux personnages qui connaissent vraiment la politique et qui sont passionnés par la politique.
Au point de revenir en arrière par rapport aux dernières années de leurs existences respectives – Miceli est le président national de l’Ordre des architectes, Cascio est médecin et responsable des vaccins pour l’ASP – pour parier à nouveau dans le périmètre de l’ancien jeu.
En tout cas, ce serait un duel sportif au nom de Leoluca Orlando, au-delà des appartenances et des chemins.

Pour une raison générale.
L’ensemble et la prochaine campagne électorale auront Orlando toujours en tête de tableau
, quoique dans l’impossibilité de se présenter comme premier citoyen.
On aura envie de discuter de l’avenir, d’espérer des raisonnements concrets sur la Palerme de demain.
Ceux qui se sont toujours opposés au maire se présenteront avec des photos du scandale et des cercueils entassés au cimetière des Rolls, avec les files d’attente sur Ponte Corleone, avec les mille coupures de presse d’une ville objectivement en déclin.
Ceux qui l’ont soutenu devront parer le coup, se défendre et relancer, dans l’étroite brèche de ceux qui ne peuvent nier le passé, en même temps prêcher la « discontinuité ».
Ce sera une confrontation avec la tête tournée en arrière.

Mais il y a une impression plus proche qui désigne cet invité de pierre incontournable et il suffit de relire les interviews de notre journal pour le saisir.
Franco (Miceli) dit : « Ma candidature est citoyenne et extérieure, c’est bien de le répéter.
Il faut de l’unité et je dois être autonome, ce sont les garanties minimales, car un maire est l’expression de la ville, pas des forces politiques.
Ensuite, il y a d’autres thèmes ».
Ciccio (Cascio) dit : “Je veux des politiciens (dans l’équipe, ndlr).
Des gens qui prennent des responsabilités, des conseillers qui sont d’autres maires à qui je donnerais la bande tricolore.
Les gens dans la rue.
Et, par conséquent, ils savent “.
Immédiatement après, il ajoute : « Assez avec cette histoire du civisme.
Miceli est aussi civique que moi.
Je ne suis plus membre d’un parti depuis 2013 et je suis médecin”.
On peut citer en plus, Roberto Lagalla : « Mon seul parti de référence aujourd’hui, ce sont les Palermitains.
Je reste à la disposition du politique.
Je ne nie pas la relation avec le centre-droit mais je crois qu’aujourd’hui Palerme a besoin d’un gouvernement de santé publique.
Palerme a besoin de l’unité du pluralisme ».

Le drapeau du civisme, avec des veines de populisme, était l’une des architraves de l’Orlandismo.
Quiconque se souvient de la devise : “Ma fête est Palerme”.
Avec cette orientation, dans une relation complexe et renouvelée avec les forces politiques qui la soutiennent, n’importe qui sera forcé d’affronter.
Le prochain maire devra prendre position par rapport à ce modèle, accordant au prédécesseur la présence-absence, avec un autre terme de comparaison.
Être ou ne pas être (civique) ? Et jusqu’à quel point ? S’il s’agira de “Franco et Ciccio”, malgré la diversité que l’on peut entrevoir des déclinaisons, ce sera à eux de répondre à la question inconfortable.