“Mon oncle m’a harcelé quand j’avais 12 ans” : une maxi-bagarre éclate en famille dans la région de Catane

Les carabiniers de la station de Biancavilla ont signalé 16 personnes, dont trois mineurs, pour les crimes de rixe aggravée, blessures, menaces graves et dommages. C’est arrivé tard hier soir, le 26 novembre, lorsque, vers 23 heures, les surveillants de la salle d’urgence de l’hôpital Biancavilla avaient désespérément demandé l’aide des carabiniers à la suite d’une rixe massive entre environ 25 personnes, qui se sont révélées plus tard appartenir pour la plupart au même foyer.

Malgré leur réticence à fournir des informations, les soldats ont surmonté l’animosité des prétendants, dont certains étaient blessés et ensanglantés, en essayant de retracer les causes qui avaient déclenché la rixe.

Plus tard, cependant, les militaires apprirent que la querelle aurait été déclenchée par la confiance faite par une jeune fille, aujourd’hui âgée de 22 ans, à son compagnon, qui aurait ainsi appris les prétendues attentions morbides qu’elle avait reçues une dizaine d’années plus tôt de la part de son oncle, alors 44 ans. “Activation” immédiate du jeune homme qui, arrivé au domicile de ce dernier, près de l’hôpital Biancavilla, s’est jeté sur lui en lui donnant des coups de poing, pour ensuite s’éloigner détecté par une caméra dans la zone.

La réaction de l’oncle ne s’est pas fait attendre : avec ses neveux, auxquels il s’était adressé pour demander leur aide, il aurait déclenché les « hostilités », se rendant dans le quartier Ardizzone de Paternò, au domicile de l’autre partie, et ici, entre menaces et demandes d’éclaircissements, les deux factions se livraient à une véritable dispute sans merci, à coups de battes de baseball et de balais, endommageant même les voitures en stationnement.

Même les trois mineurs, le plus jeune entre autres, âgé de seulement neuf ans, se sont activement engagés dans l’affrontement et, comme tout le monde, ont été immortalisés par les systèmes de vidéosurveillance de la région qui ont documenté leur ardeur.
Dans les jours suivants, les militaires ont enregistré la visite à la caserne de nombreux participants à la rixe qui, mutuellement, avaient l’intention de porter plainte contre leurs adversaires, mais ils n’ont pas pu s’opposer à la plainte contre eux pour rixe aggravée formulée contre par les carabiniers.

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