Palerme, aide aux théâtres en crise mais la fin heureuse est encore loin

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Maintenant que l’utopie de la capitale de la culture précipite la tragédie des théâtres à genoux, dans ce dernier acte dramatique de l’ère d’Orlando, il est réconfortant de savoir que du chapeau haut de forme, plus rafistolé que magique, peu de changement vient pour redonner au moins un horizon aux Biondo et Massimo.

Palerme, remède tampon pour les théâtres : la Municipalité trouve 2,9 millions

par Sara Scarafia


Les fonds promis de la taxe de séjour, en effet, ne permettent certes pas un retour immédiat à la normalité mais représentent plutôt un virage in extremis face à l’iceberg.
Après tout, l’enquête sur République sur le malaise des deux théâtres publics de la ville contraints de faire des coupes et des sacrifices, il a témoigné de l’ampleur du risque d’accident qui était tout sauf improbable.

Un affaiblissement, au mieux, de ceux qui jusqu’à la veille étaient les vitrines d’une ville qui a changé en quelque sorte et parfois, qu’on le veuille ou non, des passeports de l’internationalité.
Certes, cet autel-poussière et ascenseur semi-retour (du moins l’espère-t-il) donne la mesure de la fragilité d’un système culturel inévitablement accroché à des partenaires publics bizarres et financièrement instables, presque totalement dépourvus de mécènes privés et avec des collections autonomes peut-être suffisantes pour payer quelques factures du téléphone.

Palerme, soulagement dans les théâtres pour l’aide de la municipalité mais la peur ne disparaît pas

par Tullio Filippone


Trop soudain a été le passage des lumières de Placido Domingo à l’obscurité possible pour ne pas continuer à surveiller comme nouvelles commandes sur une histoire qui n’est pas encore terminée et qui est attendue pour la preuve d’une passation, celle de Palazzo delle Aquile, qui jamais comme cette fois-ci s’annonce délicate et pleine d’inconnues.

Sauvez les théâtres de Palerme en crise des complots de la politique

de Carmelo Lopapa


La crise des théâtres publics, qui survient après la cession d’un ancien espace symbolique comme le Garibaldi, dit que dans cette ville il n’y a pas de coffres-forts, que le terme abusé de “sécurisé” ne se décline pas en sicilien, et que le plus beau peut être cassé.