Élections Palerme, dans l’équilibre centre-droit encore à définir

#Élections #Palerme #dans #léquilibre #centredroit #encore #définir

Le match pour le Palazzo delle Aquile est étroitement lié aux élections régionales de novembre prochain.
Entre les parties pourtant, entre blagues et répliques piquantes, les prises de position semblent éloignées

PALERME – Il devient de plus en plus le climat au centre-droit est incandescent dans la campagne pour les bureaux administratifs de la capitale.
Face à toin centre gauche qui semble avoir trouvé le carré autour de la figure de Franco Micelide l’autre côté du fleuve les eaux sont de plus en plus agitées.

C’est vrai que Miceli n’a pas encore levé ses réserves et qu’il ne semble même pas y avoir de but commun sur le périmètre de la coalition, avec la gauche qui n’a pas du tout salué l’ouverture du démocrate Francesco Boccia au large champ avec les centristes.
Mais au centre-droit, si possible, c’est encore pire chez les alliés historiques.

L’annonce, par Matteo Salvini, de la naissance d’une liste fédératrice en vue des élections palermitaines et siciliennes, appelée “L’Italie d’abordA été rencontré froideur du leader des Frères d’Italie Giorgia Meloni, qui a commenté sarcastiquement : “Est-ce qu’ils veulent gagner ou nous arrêter ?”.
Bref, les séquelles des tensions accumulées à l’époque de la réélection de Sergio Mattarella continuent de se faire sentir et risquent également d’affecter la course au Palazzo delle Aquile.

“L’Italie d’abord” pourrait accueillir diverses sensibilités du centre-droit, de la Ligue aux autonomistes, des centristes aux civiques, même s’il reste à savoir sur qui convergera ce nouveau conteneur entre Francesco Cascio et Francesco Scoma.
Une initiative qui, en tout cas, a rencontré les applaudissements du coordinateur régional de Forza Italia Gianfranco Miccichè: « Un choix intelligent, généreux et courageux de Matteo Salvini.
Ainsi l’alliance est renforcée et le consensus pour la coalition va augmenter ».

En apprenant la nouvelle, Meloni a laissé échapper: “J’ai toujours été au centre-droit – a-t-il déclaré dans une interview sur le site Messaggero – je n’ai jamais passé d’accord avec la gauche, nous sommes fidèles.
Maintenant, je demande aux autres d’être clairs.
Sur les questions administratives nous sommes disponibles pour évaluer les situations mais cela ne vient pas toujours des autres.
J’attends toujours l’OK de Forza Italia sur le maire sortant de Vérone et j’attends de comprendre les réflexions de Lega et Forza Italia sur la re-nomination de Musumeci ».

Le gouverneur sortant n’aime pourtant pas l’aile force dirigée par Miccichè et ne semble même pas enthousiasmer la Ligue du Nord.
Un match étroitement lié à celui du maire de la capitale, étant donné que Meloni continue de jouer le rôle de Carolina Varchi.
En effet, pour renforcer sa position ces derniers jours, le chef de groupe à la Chambre Francesco Lollobrogida et un autre grand parti du parti, Ignazio La Russa, sont arrivés à Palerme, comme en témoigne un post sur Facebook du député national du FdI.

Même parmi les centristes il y en a qui tirent droit malgré les coups des autres: le conseiller régional pour l’éducation Roberto Lagalla (il démissionnera après le 31 mars) semble en effet disposé à se présenter seul avec l’UDC : « Roberto Lagalla – a déclaré le coordinateur régional du Bouclier croisé Decio Terrana – en vertu de la profondeur éthique, humaine et professionnel, avec la lignée acclato au niveau politique, reste le candidat le plus référencé et faisant autorité pour remplir le rôle pesant et gratifiant de maire de Palerme en 2022.
Notre espoir est que sur ce nom il y aura la convergence de la coalition du centre -à droite, en commençant par Forza Italia et Lega.
C’est le moment du dialogue et de la confrontation constructive.
Nous devons tous ramer ensemble à la recherche d’un point de convergence qui apporte efficacité, gouvernabilité et redéveloppement pour une ville merveilleuse comme Palerme, trop mortifiée par plus d’une décennie d’insuffisance et de négligence ».

Toujours au centre, La troisième tentative d’escalade de Fabrizio Ferrandelli a officiellement commencé après ceux manqués en 2012 (lorsque Leoluca Orlando a refusé l’issue des primaires de centre-gauche en le battant au scrutin) et en 2017 (lorsqu’il s’est présenté comme le visage du centre-droit, toujours battu par le Professeur).
Ces derniers jours, Ferrandelli a présenté le symbole de la première liste à l’appui de l’apparition entre + Europe et Action : « Nous sommes sur le terrain sans si ni mais.
On assiste au ballet de la totonomi, de la totocandidature mais les autres partis le font sans projet de ville, juste pour une question de positionnement.
C’est la raison qui nous a amenés à rompre le délai.
Nous avons toujours été dans cette ville, nous avions déjà signalé en temps voulu les choses qui n’allaient pas”.

“Le mien – a-t-il conclu – est une candidature hors des sentiers battus mais avec les citoyens de Palerme.
Les appareils s’efforcent de travailler côte à côte mais ce sont des médiations descendantes sans aucune planification.
Nous irons de l’avant indépendamment des autres forces politiques impliquées dans ce chaos.
Les citoyens ont compris l’embarras de ce qui se passe et que certaines forces politiques veulent transformer ces élections en primaires pour la Présidence de la Région.
Une chose indignée”