Édition, avec “Repubblica Palermo” du livre “Douze étapes dans le mystère” | Ennaora2022

PALERMO (ITALPRESS) – La dame de la haute bourgeoisie de Caltanissetta accusée d’avoir empoisonné son mari et le mystère de l’avion de Bepi Cajozzo qui s’est évaporé dans la Basse Mer Tyrrhénienne. La disparition de trois enfants d’Aspra et le meurtre de l’acupuncteur coréen des VIP de Palerme. Le meurtre de deux restaurateurs établis et le mystérieux suicide dans une chambre d’hôtel. Douze histoires sont restées enveloppées dans la brume de l’irrésolu et racontées par l’écrivain policier Gian Mauro Costa, ancien journaliste Rai aujourd’hui écrivain à succès, et Roberto Leone, ancien reporter judiciaire et criminel de la République. A la fois sur les traces des meurtres, de la mafia et au-delà, depuis les années 1980, lorsqu’ils travaillaient côte à côte à la rédaction du journal “L’Ora”. Leurs chemins se sont séparés, jusqu’à ce qu’ils se retrouvent de nos jours, à la recherche de nouveaux indices qui pourraient ouvrir des aperçus d’anciens crimes.

Le livre qui sera distribué gratuitement sur l’île à partir de demain avec le journal Repubblica Palermo s’intitule “Douze étapes dans le mystère”. Le texte rassemble les histoires publiées par le journal le dimanche de l’été dernier, qui ont rencontré un grand succès auprès du public, intégrées à de nouvelles histoires, d’autres détails, qui font des histoires de véritables mini-romans, comme le racontent ceux qui, comme Gaetano Savatteri, des jaunes savent à ce sujet.

Pas seulement “cold case”, en bref. Pour témoigner comment en Sicile – et ce n’est certainement pas une vantardise – les gens tuent et meurent non seulement pour la mafia. La préface est éditée par un autre maître de l’actualité criminelle, Francesco La Licata, journaliste de Palerme et chroniqueur de “La Stampa”, le texte est enrichi par les histoires d’un policier expert des dernières années, Leoluca Rocchè, et par une sommité de la médecine légale Médecine, Paolo Procaccianti.

La chronique est relue avec une orientation narrative strictement liée aux faits. Une image se dessine qui, sans aucune prétention historique ou sociologique, dresse le portrait de toute une société, celle de l’île. Nous ne suivons pas un critère chronologique ou thématique, mais le nez des deux vieux chroniqueurs. Certains de ces événements sont encore vivaces dans la mémoire collective, tandis que d’autres ont fini dans l’oubli. Pour les plus jeunes, ce sont des cas inconnus ou dont ils ont seulement entendu parler. Cela vaudra la peine de le parcourir. Pour comprendre – quand même – quelque chose de plus de cette terre qui reste, par certains côtés, impénétrable.

(ITALPRESS).