Déchets de Syracuse, routes provinciales sablonneuses qui doit les nettoyer ? En cas de doute, personne

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Le grain administratif a déjà éclaté, le judiciaire pourrait également éclater en raison de décharges illégales à ciel ouvert qui ne sont plus soutenables pour l’hygiène publique et donc des saisies par l’autorité judiciaire pourraient déclencher.
Nous parlons d’un cratère qui s’est ouvert dans le volcan de la question “hygiène urbaine” à Syracuse.
C’est-à-dire celle des routes provinciales : qui doit les débarrasser des déchets qui les infectent ?

Jusqu’à présent, le travail a été combiné avec le service extraordinaire que le responsable du service d’hygiène urbaine de la ville, Tekra, réalise et pour cette raison est payé d’une manière supplémentaire.
Mais voilà que les cadres du secteur Environnement de la Municipalité commencent à grogner.
Ce service coûte aux caisses municipales une dépense supplémentaire à celle des quelque 121 millions versés à Tekra pendant sept ans.
Donc, en résumé, ils ont dit : les routes sont provinciales, l’ancienne Province devrait en supporter les frais.

Inutile de dire que du Libero Consorzio, la réponse pour l’instant a été plus ou moins : avec quel argent ? Résultat : personne ne sort les poubelles.
Des rapports quotidiens arrivent sur les rues de la ville pleines de déchets, et là où elles sont municipales, tôt ou tard, une intervention de nettoyage extraordinaire de Tekra arrive, mais dans les provinces, elles commencent à ne plus arriver.
Et ainsi, par exemple, des routes comme Cassibile-Floridia sont devenues un dépotoir à ciel ouvert.
Nous savons bien comment les tas de déchets se sont épaissis et épaissis dans les rues, adjacentes au centre urbain et aussi à l’intérieur du centre urbain, depuis le printemps dernier en raison – tout d’abord – de la diminution des charges indifférenciées entrant dans la décharge de Lentini.
Nous l’avons écrit et réécrit plusieurs fois.
Cela a généré, comme cela a été largement rapporté, un effet secondaire qui est en partie dû à l’incivilité.
Les déchets indifférenciés collectaient de moins en moins qu’il ne le fallait et mal, et donc au lieu d’être gardés à la maison, ils finissaient dans la rue.

Une décision managériale fin juillet, rendue par le secteur Environnement, certifie une dépense supplémentaire de la Municipalité d’environ 42 mille euros pour ces interventions extraordinaires des hommes de Tekra, pour seulement trois semaines en juin.
Le document indique : les interventions extraordinaires de collecte et de transport des déchets ; Services supplémentaires extraordinaires pour l’enlèvement des déchets abandonnés ; services complémentaires pour le transport des déchets indifférenciés pendant les heures supplémentaires et la nuit.
Ici, si ce fardeau de dépenses supplémentaires continue d’être bon pour les routes communales, pour la Municipalité il n’est plus bon pour les routes provinciales.

Et c’est ainsi qu’a commencé un bras de fer.
Surtout compte tenu du fait que dans les autres provinces, cela ne se produit pas.
En d’autres termes, le consortium Libero a stipulé des accords avec le gestionnaire du service des déchets de la municipalité principale et paie le nettoyage extraordinaire.
Pas avec nous.
Et les ordures envahissent les chaussées.

On retrouve un peu le phénomène dénoncé il y a un an par la touriste spéciale, Selvaggia Lucarelli.
Qui concernait alors, il n’a jamais été clair pourquoi, seulement Noto, étant donné que toute la province est dans les mêmes conditions.
Autrement dit, nos districts ruraux (même ceux relevant de la municipalité de Syracuse) regorgent de résidences secondaires et tertiaires louées comme résidences de vacances, mais avec des propriétaires qui ne paient pas le Tari.
Et les touristes ont appelé à ne pas différencier “qu’il y a tellement le “garçon” qui emporte les ordures”.
Et où le jetez-vous ? Eh bien, à Floridia-Cassibile, bien sûr.
“Entre Cassibile et l’Hippodrome se trouve une décharge aujourd’hui presque acceptée par les riverains, une chose honteuse”, confie notre source au quotidien à propos de cette route.
Mais c’est quelque chose qui peut être perçu à l’œil nu.
Et sur le nez.

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SICILE “SALE”

De plus, la question des routes provinciales s’est donc posée, soumise par les dirigeants de Palazzo Vermexio.
Ce qui ressemble à ceci : “Pourquoi l’ancienne Province n’assume-t-elle pas cet extraordinaire service de nettoyage comme elle le fait, par exemple à Raguse ?”.
Ils le font en s’appuyant sur une convention avec le gestionnaire de services du chef-lieu.
Pendant ce temps, dans le Floridia-Cassibile, il y aurait une “odeur” d’enlèvement.

cr cp REPRODUCTION RÉSERVÉE

Actualité actualisée de la Sicile 2022-08-06 19:21:00